Combattants des profondeurs
Combattants des profondeurs
On ne s’improvise pas sous-marinier…,
Cela passe d’abord par un volontariat et surtout une formation très spécifique. Dans un premier temps, il faut répondre à une batterie de tests physiques et psychologiques pour être reconnu « apte à la navigation sous-marine ».
Ensuite viennent les indispensables formations techniques aux différents postes de quart pour connaître les consignes, les gestes, les réflexes garants de la bonne marche du sous-marin et par là même de la survie de son équipage ; mais également pour s’imprégner de l’esprit de ce métier discret, dangereux, mais ô combien prestigieux.
Les magazines interarmées TAM (Terre-Air-Mer) et Armées d’aujourd’hui nous présentent tout cela dans un excellent document édité en 1985/86 (au lu de divers éléments cités).
On y retrouve également tout ce que nous avons vécu : les postes de quart, l’organisation de la vie en plongée, les entraînements et entretiens techniques durant les périodes à quai, les départs en mer, les retours à la maison, la banette chaude, l’hygiène précaire…, au travers de témoignages de Vieux Loups qui, de l’Astrée à l’ère nucléaire, n’ont rien oublié de cette ambiance unique partagée et de cette solidarité qui unit tous les sous-mariniers de toutes époques.
Document original confié par notre ami Claude LE JAOUAN.
Les mots en noir gras sont des portes à ouvrir.
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