Pas d'erreur : c'était SUIGNARD, type formidable de l'ancienne école des Cipiés , classe des pompe-la-mousse.
Bien penaud, pendant Sauna, quand les frigos et le chauffage se sont mis à jouer les vases communicants, en raison d'une vanne fuyarde. D'où transfert des surgelés sur le Dauphin, et renforcement du stock de patates et de conserves pour continuer la mission. Que de plaisanteries douteuses n'a-t-il pas subi, sur cette avarie !
Mr SUIGNARD que j'ai eu comme Cipié sur le Morse en sortie de refonte puis les essais. Grand bonhomme qui connaissait bien les "Narval" et toujours d'un calme olympien.
Bonjour Christian,
J'ai mis du temps à te resituer, mais maintenant je te vois bien derrière les Schneider, surtout ton sourire.
Pour rebondir sur le propos de Claude concernant les moteurs, j'ai le souvenir du Cipié : SUIGNARD, je me trompe?
C'est bien de se souvenir Claude, merci ! Et plus encore, moi je me souviens également du sauvetage sur le glaçon et plus particulièrement de l'accident aux Glénan.
Amicalement.
J'avais quitté le Narval avant l'accident des Glénans, pour rejoindre la CEPSM à Toulon . Puisque tu étais mécano, aux diesels, peux-tu me préciser si c'était toujours des Schneider, ou des Pielstick . J'ai un trou, et ce brave SUIGNARD n'est plus là pour en parler.
Je crois que les constructeurs n'avaient pas eu grand choix de matériel français disponible. Ces Schneider à 7 cylindres étaient une logique extrapolation des 6 cylindres installés sur l'Africaine. Chapeau aux mécanos qui ont réussi à les mettre en service et en assurer la conduite et la maintenance.
Normal Yves...
Christian était sur le Narval de novembre 64 à septembre 66 comme cela est précisé sur son "Portrait", ainsi que dans la liste "Embarquement" et le "Diagramme 55-66".
Bien à toi Yves ;-)
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