Essayez de diviser 360 degrés par 7 !!!!!!! C'est impossible !
Et pourtant c'est simple, il faut un piston équipé d'une tige plus grosse que les autres et donc plus lourde ..., pas bête hein... !? Il fallait y penser.
C'est la première fois au monde que fut réalisé un moteur défiant toutes les lois de la mécanique...
Cocorico, il était Français.
En cas de bielle coulée, par exemple, ces curieux moteurs pouvaient continuer à fonctionner en situation dégradée en sacrifiant le cylindre concerné ; cela nécessitait de déposer sa culasse, d'extraire l'attelage, de lui faire faire demi tour pour introduire le piston à l'envers dans sa chemise, afin d'obturer les lumières d'aspiration/échappement. Le moteur pouvait alors tourner sur 6 cylindres. Solution mise en oeuvre peu de temps avant l'entée du Requin en refonte, à cause d'une soie de vilebrequin.
Pu...n, moi Dsm, quand je lis cette prose de dépannage, je dis CHAPEAU!!!! Je n'ai connu les 1200 t. qu'en 1970..., donc refondus. Mais quelle mémoire MG13 !!!
Je le vois assez souvent, par contre je ne me souviens pas de toi, peux tu me rafraichir la mémoire, mais on s'est certainement croisé sur nos bateaux noirs!!!
DONTENVILLE dit Tonton, j'étais embarqué avec lui sur le Morse. Il était inséparable de LECOMTE dit le Yéti, quelle époque où nous avions, presque tous, un surnom !!!!!
Très juste : le Commandant J. avait autorisé à descendre fumer dans la cale entre les deux pompes de balayage. Il y avait presque la queue au dessus, dont le Cipié P. qui n'était pas le dernier...
Quelle odeur infecte dans cet incroyable courant d'air à nous en faire vibrer les tympans.
Je me souviens d'une moque à mégots, posée sur un des Diesel du Requin : le commandant avait autorisé les fumeurs dans le compartiment Diesel . Seuls persistaient les vrais accros au tabac ...
Eh oui,tout y est, même la poubelle devant la cuisine. Mais alors, cette boite noire à coté du volant de manoeuvre du clapet d'échappement intérieur Tb, ça n'existait pas, ne serait-ce pas la télé ???
A l'époque, il y avait 2 tubes lance torpilles à l'arrière des échappements. Les
coffrets de contrôle se trouvaient derrière l'échappement tribord, sous la responsabilité d'un Patron Elarm..., du moins à bord du Dauphin sur lequel j'étais Mécano de 67 à 69, date de la refonte...
Une grande partie de l'équipage arma la Sirène à Brest. Je continuais donc sur 3 types Daphné...
Amitiés. Jean-Noël FEGER dit "Mao", aujourd'hui vendéen à St Gilles Croix de Vie.
Des souvenirs aux commandes du moteur Td, à lutter contre l'endormissement dans le boucan au schnorchel, les pieds calés sur les batteries Johannès de doseurs à huile de graissage des pistons..., le dos au chaud contre l'armoire de l'épurateur Sharples..., et dont les lumineux à incandescence nous brûlaient le dos...........
Les Schneider servaient aussi à sécher les blousons des veilleurs. C'est peut-être dans cette fonction qu'ils marchaient le mieux.
Souvenir: année 65/66, Narval en route surface vers La Palice pour escale, sur 1 Schneider (le deuxième en berne!).
Mauvais signe: du lapin au déjeuner. Une patte de lapin qui traîne sur les culasses, fumée noire aux échappements.
Un quart d'heure plus tard Narval en route Lorient sur MEC.
La vérité si je mens !
Que de bons souvenirs !!!
Le poste Diesel à babord était occupé par un Second Maître, et tribord par un Quartier Maître; et le plus jeune faisait le sale boulot: nettoyage des filtres, contrôle des bielles, ouvertures des clapets...
C'est comme si j'y étais, le clapet de manoeuvre d'échappement intérieur tribord, tout y est. La coursive au bout de laquelle se trouvait la cuisine et le matelot de quart aux diesels qui suivait scrupuleusement.......tous faits et gestes du cuistot...
N'est-ce-pas "mossieu" LOISON...!?
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